Les riverains de la rue du Chaudron d'Or et des rues adjacentes subissent de multiples nuisances en constante augmentation.
Ce n'est plus acceptable !
La cause ? Un développement incontrôlé des débits de boissons !
Les nuisances sonores que subissent les riverains de la rue du Chaudron d’Or et des rues adjacentes sont dues à l’activité des 6 bars (!) dans un périmètre réduit. La fin des confinements avec l’extension temporaire des terrasses a fait émerger de mauvaises habitudes, et l’installation de deux nouveaux bars au coin avec la rue des Grandes Ecoles n’a fait qu’aggraver la situation !
Les conséquences ?
Bruit excessif entrâinant des insomnies et des privations de sommeil, dégradations, incivilités, bagarres. Un quartier autrefois agréable et familial devenu une « rue de la soif » hors de contrôle dans laquelle il devient impossible de résider dans des conditions normales. S’ajoute une mise en danger des riverains liée à un non respect de la réglementation dans la mise en place des terrasses et des transports en commun qui circulent difficilement. Des biens publics et privés dégradés quotidiennement ! La vie est tout simplement devenue invivable pour les riverains dont des enfants exposés malgré eux aux excès et dégradations des « fêtards ».
Que fait la mairie ?
RIEN ! Malgré nos alertes et tentatives de conciliations, la mairie reste sourde, nous avons donc décidé de créer le Collectif de la rue du Chaudron d’Or afin de faire entendre nos voix !
Le collectif
Nous sommes une trentaine de riverains et nous avons constitué un collectif dont le but est de lutter contre les nuisances sonores dans la rue du Chaudron d’Or. Nous pensons que la vie ensemble est possible dans le respect des droits de tous. Trouver un équilibre est nécessaire entre les activités commerciales, festives, privées, et le droit légitime au sommeil des riverains de la rue du Chaudron d’Or.
Nous demandons :
La fermeture des bars à 23h.
L’interdiction à tout nouveau bar de s’installer rue du Chaudron d’Or ou à proximité.
Ce que dit la loi
Code de santé publique (Article R1334-31) :
« Aucun bruit particulier ne doit, par sa durée, sa répétition ou son intensité, porter atteinte à la tranquillité du voisinage ou à la santé de l’homme, dans un lieu public ou privé, qu’une personne en soit elle-même à l’origine ou que ce soit par l’intermédiaire d’une personne, d’une chose dont elle a la garde ou d’un animal placé sous sa responsabilité. »